2 JUILLET.
Eh bien voilà, je suis arrivé à Salvador de Bahia au Bresil, lieu de mon décollage pour la France dimanche. Tout s'est déroulé impeccable. j'angoisse toujours un peu au moment de changer de lieu. À tort, d'abord parce qu'a priori tout est bien balisé, ensuite parce que, une des choses que j'aurai apprises durant ce voyage c'est que quand il y a un problème il y a une solution. En particulier, dans les aéroports, je me demande toujours près du tourniquet si ma valise va arriver ou pas. Elle arrive toujours. Et le jour où elle n'arrivera pas, on verra bien, il n'y a pas mort d'homme, d'autant que je prends la précaution de prendre mes biens les plus précieux dans mon sac de cabine. Je deviens zen à l'automne de ma vie, il etait temps!
Bon, bref, je vois pas pourquoi je raconte tout ça, je suis donc arrivé cette nuit à l'aéroport à 3 heures du matin, après un transit de 6 heures à Sao Paulo, j'ai bien récupéré ma valise, le taxi etait bien là à m'attendre, l'hôtel etait ouvert et j'ai pu dormir un peu pour récupérer.
J'ai donc pu profiter tranquillement du Peroulinho, ca y est je sais ce que c'est, le centre ancien de Salvador de Bahia. Conforme à ce qu'on imagine du Bresil: animé, joyeux, coloré, musical.
Encore une fois, les guides touristiques décrivent Salvador comme une ville craignos. Il faut vraiment qu'ils arrêtent avec ça. Évidement qu'il faut pas aller dans les favélas à 3 heures du matin, j'ai pas besoin d'un guide pour comprendre ça. Mais le Peroulinho à 20 heures quand tout le monde est dehors, c'est génial!
L'ascenseur qui permet de passer rapidement de la ville haute à la ville basse
Le marché
Dernières ballades à Salvador avant le décollage.
Eh bien voilà, je suis arrivé à Salvador de Bahia au Bresil, lieu de mon décollage pour la France dimanche. Tout s'est déroulé impeccable. j'angoisse toujours un peu au moment de changer de lieu. À tort, d'abord parce qu'a priori tout est bien balisé, ensuite parce que, une des choses que j'aurai apprises durant ce voyage c'est que quand il y a un problème il y a une solution. En particulier, dans les aéroports, je me demande toujours près du tourniquet si ma valise va arriver ou pas. Elle arrive toujours. Et le jour où elle n'arrivera pas, on verra bien, il n'y a pas mort d'homme, d'autant que je prends la précaution de prendre mes biens les plus précieux dans mon sac de cabine. Je deviens zen à l'automne de ma vie, il etait temps!
Bon, bref, je vois pas pourquoi je raconte tout ça, je suis donc arrivé cette nuit à l'aéroport à 3 heures du matin, après un transit de 6 heures à Sao Paulo, j'ai bien récupéré ma valise, le taxi etait bien là à m'attendre, l'hôtel etait ouvert et j'ai pu dormir un peu pour récupérer.
J'ai donc pu profiter tranquillement du Peroulinho, ca y est je sais ce que c'est, le centre ancien de Salvador de Bahia. Conforme à ce qu'on imagine du Bresil: animé, joyeux, coloré, musical.
Encore une fois, les guides touristiques décrivent Salvador comme une ville craignos. Il faut vraiment qu'ils arrêtent avec ça. Évidement qu'il faut pas aller dans les favélas à 3 heures du matin, j'ai pas besoin d'un guide pour comprendre ça. Mais le Peroulinho à 20 heures quand tout le monde est dehors, c'est génial!
Je t'ai un peu perdu de vue depuis le Pérou...mais là on grille tellement dehors que j'ai du temps pour rattraper le retard photo et tout et tout.
RépondreSupprimerJe t'embrasse en attendant que la pluie vienne
Claude
Trop de choses à dire... On reste bouche bée et on attend ton retour.... RV à Bâle... Prépare toi aux grosses chaleurs... Pépin et mamie
RépondreSupprimerhello Patrick
RépondreSupprimerbon ben maintenant on attend ton retour en France pour tous tes récits!
MERCI pour tous des dépaysements... magnifiques photos!
Bise
Catherine